EXPOSITION « L’ESPRIT COMMENCE ET FINIT AU BOUT DES DOIGTS » AU PALAIS DE TOKYO
20 ans d’engagement pour l’intelligence de la main®
Pensée par Laurent Le Bon et mise en espace par Isabelle Cornaro, l’exposition L’esprit commence et finit au bout des doigts* présentée dans le cadre du magnifique plateau de l’Orbe New-York, au Palais de Tokyo est le reflet de 20 ans d’engagement de la Fondation Bettencourt Schueller.
Le parcours de l’exposition - pensée par Laurent Le Bon et mise en espace par l’artiste Isabelle Cornaro - s’ouvre par une mise en perspective historique, sous la forme d’un étonnant cabinet de curiosité, avec la présentation d’une centaine de pièces issues des collections des Beaux-Arts de Paris, qui cherchent à magnifier les mains, seules.
Le visiteur découvre dans l’Atelier, les visages, certains outils, machines et matières premières qui composent les 281 métiers d’art. L’espace s’ouvre alors sur la ville, avec une parade festive de créations baignées de lumière naturelle et ponctuée d’une présence végétale, comme une vanité heureuse. Dernier moment de l’exposition, un panorama d’images mises en mouvement, figure des actions en faveur des métiers d’art, une invitation au prospectif qui donne le primat aux sensations.
Depuis 20 ans, à l’initiative de la Fondation Bettencourt Schueller, le Prix Liliane Bettencourt pour l’intelligence de la main® met en lumière les savoir-faire d’exception, la créativité et l’innovation des métiers d’art qui participent de la scène française artistique contemporaine. Cette exposition est un reflet de cet engagement philanthropique.
La Fondation Bettencourt Schueller est grand mécène des Journées Européennes des Métiers d’Art (JEMA).
Commissaire : Laurent Le Bon
Mise en espace : Isabelle Cornaro
Exposition ouverte du 16/10/2019 au 10/11/2019
De midi à minuit, tous les jours sauf le mardi.
Téléchargez le cahier pédagogique de l’exposition et réservez votre visite de groupe
* La citation qui constitue le titre de l’exposition est issue de l’Idée fixe ou deux Hommes à la mer (1932), roman de Paul Valéry. Elle fait écho aux citations de l’auteur inscrites sur les frontons du Palais de Chaillot, bâtiment voisin de la même époque.